C'est profession qui s'exerce sous deux catégories :
- Les successoraux : ce sont ceux qui recherchent les héritiers d'une personne décédée sans laisser de testament.
- Les familiaux : ce sont ceux qui travaillent sur la recherche généalogiques ou historiques pour une clientèle.
Pour faire leur travail, ils ont besoin d'accès à des fichiers qui ne sont pas accessibles publics.
Pour ce faire, ils ont accès aux registres d'enregistrements mais à une seule condition ils doivent être mandatés par un officier public, un notaire.
En France, il existe ce qu'on appelle CGP ou Chambre des Généalogistes Professionnels.
Il a été créé en janvier 1997 pour accueillir au sein d'une même chambre d'une même chambre généalogistes et successoraux.
Les professionnels de ce chambre doivent avoir un numéro de Siret dans leur offres de services comme des publicités ou annonces...
La base SIREN de l'INSEE mentionne l'activité du titulaire de ce numéro.
Ils exercent sous la forme de société (EURL, SARL ou autre) ou encore en profession libérale.
Ils doivent leurs cotisations sociales.
Ils sont assujettis à la TVA, à la taxe professionnelle,...
Ils sont souscrits à des assurances professionnelles.
Les généalogistes en France travaillent sous le statut juridique des professions libérales, à l'exception de quelques cabinets de généalogie successorale.
On peut devenir généalogistes en suivants une formation de licence professionnelle, " activités juridiques- spécialité généalogiste successoral ", ou sous diplôme universitaire dans la filière " histoire et généalogie familiale " non disponible en enseignement à distance.